Avant d’être joueurs professionnels, ces footballeurs ont vécu une enfance assez compliquée. Maintenant millionnaires, ils ne roulaient pas sur l’or auparavant. Pause Foot vous propose une liste de 20 joueurs ayant vécu dans la pauvreté.
Cristiano Ronaldo est un joueur né sur l’île de Madère. Avant de signer en 2003 pour Manchester United, il a vécu une enfance compliquée où il partageait sa chambre avec 3 de ses frères. Il n’avait jamais pris l’avion avant d’aller en Angleterre.
Luis Suarez est l’ainé d’une fratrie de 7 enfants. Il a vécu dans la ville de Montevideo et s’est formé en tant que joueur dans les rues étant petit. Son père au chômage était alors son entraineur.
Natif de Boulogne sur Mer, Franck Ribéry a vécu dans un quartier de classe sociale modeste. De plus, ses cicatrices au visage sont synonymes d’un accident de voiture à l’âge de 10 ans. Il a été projeté sur le pare-brise.
La suite de votre article ci-dessousÉlevé dans un quartier modeste de Malmo, Zlatan Ibrahimovic a été victime d’un père alcoolique et d’une mère qui a eu des difficultés pour faire grandir ses enfants. Ensuite il a signé dans le club de Malmo pour suivre une formation… On connait la suite…
A peine âgé de 4 mois, les parents de Neymar ont cru voir leur fils mourir dans un accident de voiture. Pour s’entrainer dans les bidonvilles de Santos, il prenait ses parents pour créer des buts. A 13 ans, le Real de Madrid lui a proposé un contrat. Préférant rester au Brésil près de sa famille, il est arrivé en 2013 à 21 ans à Barcelone.
Angel Di Maria était un enfant hyperactif. Sa mère, pour le canaliser, l’inscrit dans un club de foot en Argentine à Rosario. Son père était travailleur à River Plate dans les mines de charbon. Il fallait qu’il ramène de l’argent pour toute la famille. Heureusement qu’Angel est maintenant un joueur multi-millionnaire.
La suite de votre article ci-dessousLuka Modric avait 5 ans lorsque la guerre pour l’indépendance de la Croatie a été déclarée. Son grand-père a été assassiné à l’issue d’un conflit. Il a été contraint de dormir dans un camp de réfugié car son village avait été dévasté.
Elevé uniquement par sa mère, Alexi Sanchez était obligé de faire des petits travaux à côté de l’école pour aider sa mère financièrement.
Carlos Tevez est sorti d’une enfance marquée par la criminalité dans les quartiers de Buenos Aires. Grâce au football, il a pu s’éloigner de cette vie malsaine.
La suite de votre article ci-dessousWayne Rooney n’a pas bénéficié d’une enfance ivre de richesse. Habitant dans la ville d’Everton, son père a alterné des périodes de travail et des mois de chômage.
Yaya Touré jouait au football dans les rues de son pays natal à Abidjan. Il a fallu dix ans pour qu’il achète ses premières chaussures de football. Il a même mentionné que son père ne voulait pas lui acheter des chaussures car il y avait d’autres choses à acheter avant pour la famille.
Lorsque son père allait travailler dans les champs pour ramasser les melons, Dani Alves se levait à l’aube pour aller l’aider. Au Brésil il jouait au football dans la rue avant de rejoindre un club du pays. Maintenant il joue à la Juventus de Turin.
La suite de votre article ci-dessousDanté a fait ses débuts de footballeur sur le parking du supermarché où sa mère travaillait. Il a grandi dans le quartier défavorisé de Salvador. Petite anecdote, pour acheter un ticket de bus, il a dû vendre des jeux vidéos.
Samuel Eto’o vivait dans les quartiers défavorisés de Douala. Il a ensuite signé pour une académie au Cameroun avant de devenir l’un des meilleurs attaquants du monde.
L’ancien attaquant du Milan AC a vécu dans un quartier pauvre de Rome. Il a été élevé seul par sa mère et a été baigné dans la criminalité durant son enfance. Ensuite repéré pour son talent, il a signé pour le centre de formation de Parme.
La suite de votre article ci-dessousLe jeune brésilien a vécu dans les favellas de Rio de Janeiro. Il faisait des petits « jobs » de vendeur de substances illicites. Il a été sorti de cette vie de voyou grâce à un recruteur brésilien qui l’avait repéré pour ses talents de footballeur.
Le joueur de la Biélorussie a vécu dans les quartiers de Minsk. Ses parents l’ont abandonné à sa naissance. Il a dû vivre dans un foyer jusqu’à ses 18 ans.
Zhirkov, l’aillier gauche de la Russie, a vu ses parents mourir devant ses yeux lors de la guerre en Tchécoslovaquie. Il a vécu chez ses grands-parents à l’issue de cette tragédie.
La suite de votre article ci-dessousJoueur Sud Africain, il a vécu une enfance difficile durant la période de l’apartheid. Il a été exclu de sa maison avec sa famille et a reçu des menaces racistes durant cette période. Aujourd’hui il joue dans le club d’Everton en Angleterre.
Il était appelé l’enfant turbulent du Brésil. Ce joueur a été en prison à l’âge de 14 ans car il a été pris dans un trafic de stupéfiants. Il a été relâché 3 mois après. Il a ensuite tourné la page pour être joueur de football.
Rares sont ceux qui parviennent à inscrire leur nom dans l’histoire du sport et à marquer un grand nombre de buts. Aujourd’hui, nous nous souviendrons des trois footballeurs les plus prolifiques dont la carrière a atteint son apogée dans le football espagnol.
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Benzema a montré tout au long de sa carrière au Real Madrid comment évoluer de manière significative en tant que footballeur. Si Karim a d’abord eu les coups de pied arrêtés pour devenir un grand joueur, sa capacité à capitaliser sur les occasions qui lui sont offertes est quelque chose qui mérite le respect. Lorsqu’il a rejoint le club madrilène, il n’était pas une grande star capable de marquer régulièrement des buts. Cependant, le fait d’être entouré en attaque a joué un rôle important dans son développement en tant que joueur capable de réussir sérieusement.
Au début, Karim a joué le rôle d’assistant, mais après le départ d’Iguain et de Ronaldo, il n’a pas hésité à prendre la responsabilité du leadership. Son jeu s’est amélioré d’année en année et, avant de partir à l’intersaison, il a mérité le Ballon d’Or pour son excellent travail de l’année dernière. Dans notre classement des buteurs de la Liga depuis le début du siècle, il occupe une honorable troisième place.
On a déjà beaucoup parlé de Cristiano Ronaldo, qui était destiné à devenir une légende mondiale dès le début de sa carrière au sein de l’équipe nationale portugaise. Il a progressivement organisé son passage à Manchester United, où il est devenu un footballeur mature capable d’être responsable des résultats de l’équipe. Son transfert au Real Madrid a fait grand bruit et s’est avéré tout à fait justifié. Cristiano se déplace rapidement sur le terrain, ignorant souvent ses partenaires offensifs car il se concentre sur l’amélioration de ses performances individuelles. Il n’a connu que quelques matches vraiment faibles au cours de son séjour au Real Madrid. Pour le reste, il a répondu aux attentes et ses presque 400 points illustrent son niveau de jeu d’il y a dix ans.
En première position, on retrouve l’inégalable Lionel Messi, mais avec un chiffre « diabolique » qui restera malheureusement gravé à jamais dans l’histoire de sa période espagnole. Le chiffre de 666 points est tout simplement hallucinant et il n’est pas certain que quelqu’un atteigne un jour un tel résultat dans n’importe quel championnat du monde, et encore moins dans les plus grands championnats européens.
Messi a fait ses débuts dans le championnat espagnol en 2005 et il n’est pas surprenant qu’en 16 ans de carrière, il ait pu atteindre des chiffres aussi impressionnants grâce à son talent.
Sa rivalité avec Ronaldo pendant cinq ans est considérée comme l’une des confrontations les plus colorées de l’histoire du football. C’est pourquoi l’Argentin a pris la tête de notre classement grâce à ses incroyables chiffres en matière de buts et de passes décisives.
L’avancée de la technologie permet à toutes les disciplines de connaître une évolution majeure. Le football, qui est l’un des sports les plus suivis au monde, n’est pas en marge de ce progrès technologique. Depuis son introduction pour la première fois en 2016, la VAR contribue notamment à rendre les matchs plus équitables. Zoom sur son fonctionnement et sur son impact sur les matchs.
Le sigle VAR veut signifier « Video Assistance Referee ». Dans le langage commun, l’expression « arbitrage vidéo » est plus répandue. La VAR est une technologie mise au point pour augmenter la qualité de l’arbitrage lors des matchs de football. Elle tend particulièrement à réduire considérablement les erreurs que les arbitres sont susceptibles de commettre lors des matchs.
Les arbitres vidéo ont un champ d’action restreint. Leur rôle est principalement de signaler à l’arbitre des situations litigieuses spécifiques qui auraient pu survenir sur le terrain. Il faut toutefois signifier que la décision appartient bien à l’arbitre central.
Le champ d’action de la VAR se limite à quatre types d’événements sur un match. Elle peut être utilisée pour valider ou non un but ou juger les situations de hors-jeu. Elle peut servir à valider ou annuler un penalty sifflé ainsi qu’un carton rouge direct.
La VAR permet enfin de vérifier l’identité d’un joueur qui a été sanctionné. Il est par ailleurs possible, chez certains bookmakers, d’émettre un pari sportif sur l’usage ou non de la VAR lors d’un match de football. Vous pouvez aller sur PokerStars pour découvrir des pronostics très intéressants.
Pour visionner les séquences vidéo, l’initiative vient soit des arbitres assistants vidéo, soit de l’arbitre central. Une fois la situation analysée, les assistants vidéo peuvent rendre leur verdict directement à travers une oreillette que porte l’arbitre central. Si la décision est mitigée, ce dernier a la possibilité de consulter directement les images sur le bord du terrain.
Depuis son avènement, la VAR a eu un impact significatif sur une pléiade de matchs de football. Mais elle reste cependant sujette à de nombreuses critiques.
Incontestablement, la VAR a révolutionné l’arbitrage dans le football. Avec cette nouvelle technologie, les fautes les plus bénignes sont désormais bien sanctionnées. Le hors-jeu, à titre d’exemple, est devenu beaucoup plus strict depuis l’avènement de l’assistance vidéo. Pour un coude qui dépasse, des actions entières peuvent être annulées. Cela permet de ne pas désavantager une équipe au profit de l’autre.
La VAR permet également une plus grande expansion du pouvoir décisionnel de l’arbitre central. Ce dernier dispose de plus d’informations et porte de ce fait plus de responsabilités dans les décisions qu’il prend sur certaines actions. La consultation de la vidéo étant possible à tout moment du match, il pourrait lui être reproché des faits de jeu graves qu’il aurait ignorés.
Mais la VAR fait aussi face à une multitude de critiques. Ses détracteurs l’accusent de dénaturer le sport et de faire régresser le fair-play qui est censé caractériser le football. Elle peut arrêter des rencontres pendant de longues minutes, ce qui fait logiquement augmenter le temps de jeu additionnel.
Dans ces conditions, il arrive que les ascenseurs émotionnels soient insupportables. C’est le cas par exemple lorsqu’un but validé est refusé après plus de trois minutes de vérification de la VAR.
Bien que l’assistance vidéo soit très controversée depuis son introduction sur les terrains de football, il faut reconnaître qu’elle a servi à de nombreuses reprises. Son utilité n’est plus à prouver et il est certain qu’elle ne risque pas de disparaître.
Alors que la Coupe du monde féminine de football vient de s’achever ce dimanche, avec la belle victoire de l’équipe d’Espagne 1 à 0 face à l’équipe de l’Angleterre, une vieille idée refait surface sur les réseaux sociaux: Faut-il payer les athlètes féminines autant que leurs collègues masculins?
Cette question qui a longtemps divisé l’opinion refait surface à chaque grande compétition internationale et il semblerait que le public soit enfin prêt à un profond changement dans l’écosystème sportif.
Dans un sondage récent partagé par ExpressVPN, il a en effet été révélé que la grande majorité des personnes interrogées soutiennent fermement l’idée d’une égalité de rémunération pour les athlètes féminines, pour contrer les disparités économiques actuelles qui favorisent davantage les athlètes masculins. En effet, 54 % des répondants ont déclaré être totalement favorables à cette égalité, tandis que 35 % se sont dit plutôt favorables. Seuls 10 % des participants ont indiqué ne pas être vraiment favorables à cette égalité, et seulement 1 % s’est déclaré complètement opposé.
Ces résultats démontrent un soutien significatif envers l’égalité de rémunération, même en prenant en compte des facteurs tels que les revenus de billetterie plus élevés, le merchandising plus important et l’attention médiatique accrue dont bénéficient les athlètes masculins. Cette constatation souligne clairement l’importance accordée à la reconnaissance de la valeur et du talent des athlètes féminines, ainsi que l’objectif de rétablir une plus grande équité dans le domaine du sport.
Il est essentiel que les associations, les clubs et les équipes sportives travaillent activement à réduire ces écarts de rémunération et à créer des opportunités équitables pour les athlètes féminines. Il est temps de reconnaître leur contribution significative et de leur offrir des droits égaux en matière de rémunération. Les organismes sportifs doivent prendre des mesures concrètes pour combler cet écart, en mettant en place des politiques qui favorisent l’égalité salariale et en attribuant des ressources financières équivalentes aux athlètes féminines. Cela inclut également la création de programmes de développement et d’entraînement spécifiquement conçus pour soutenir et promouvoir le potentiel des femmes dans le sport.
En plus de l’aspect égalitaire, il est également important de souligner le potentiel économique du sport féminin. En investissant dans le développement et la promotion du sport féminin, les associations peuvent créer de nouvelles opportunités de revenus et élargir leur base de fans. Les athlètes féminines méritent d’avoir les mêmes opportunités de succès et de reconnaissance que leurs homologues masculins, et les retombées financières positives pourraient être significatives.
Pour conclure cet article, nous devons retenir que ce formidable soutien à l’égalité de rémunération pour les athlètes féminines indique un changement positif dans notre société. Il est temps que les disparités économiques actuelles soient remises en question et que des mesures concrètes soient prises pour promouvoir l’égalité dans le sport. En permettant aux athlètes féminines de bénéficier d’une rémunération juste et équitable, nous faisons un pas important vers une société bien plus juste, bien plus saine et bien plus équilibrée.
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