Le foot est une affaire de famille. Pour preuve, les joueurs ainsi que les entraîneurs de foot ont de plus en plus de liens de parenté. Des plus connues aux moins connues, voici les familles qui jouent dans l’univers du ballon rond.
En 2016, l’entraîneur du Real Madrid Zinedine Zidane a convoqué son fils Enzo (22 ans) pour jouer durant un match officiel du club madrilène. Son fils Lucas Zidane joue également au foot et est gardien de but. Tous deux semblent aussi doués que leur père !
Luca Marchegiani est un ancien joueur de la Chievo Verona. Il a évolué au poste de gardien de but dans cette équipe italienne. Son fils Gabriele Marchegiani, aujourd’hui âgé de 21 ans, a suivi ses traces et est le gardien de but de la SPAL. Tel père, tel fils !
Eusebio Di Francesco est l’actuel entraîneur de l’AS Roma jusqu’en 2019. Avant d’intégrer ce poste, il a été milieu de terrain de la Louve pendant quatre ans (1997-2001). Aujourd’hui, son fils Federico Di Francesco, âgé de 22 ans, joue également au football et évolue à Bologne en Italie.
La suite de votre article ci-dessousPeter Schmeichel était le gardien de but du Manchester City de 2002 à 2003. Cet ex gardien de 53 ans a légué ses performances footballistiques à son fils Kasper Schmeichel qui est aujourd’hui le gardien de but de Leicester City. Kasper est aussi grand et doué que son père !
Franck Lampard était le milieu de terrain du club anglais de West Ham. Son fils Frank Lampard jr. a suivi ses traces en devenant milieu de terrain international et capitaine de Chelsea. Il a été élu meilleur buteur de l’équipe (150 buts).
Cesare Maldini a joué dans des clubs italiens tels que Milan ou AC Turin en tant que libéro. Son fils Paolo Maldini lui a succédé en tant que défenseur central et arrière gauche à l’AC Milan jusqu’en 2009.
La suite de votre article ci-dessousPablo Forlan est un joueur retraité de 72 ans qui a évolué en tant que défenseur dans des équipes uruguayennes telles que Defensor ou Nacional. Son fils Diego Forlan, qui a 38 ans, est un attaquant qui a joué pour Mumbai City jusqu’en janvier et qui n’a pas de club actuellement.
Né en 1919, Valentino Mazzola n’a pas joué au foot bien longtemps. L’Italien était l’attaquant et ailier gauche des clubs italiens AC Venezia et AC Torino avant son décès en 1949. Il a transmis sa passion pour le foot à son fils Sandro Mazzola qui est aujourd’hui retraité et qui a été attaquant avant-secondaire au sein de l’Inter en 1977.
L’Anglais Ian Wright était l’avant-centre de l’équipe de Burnley FC avant de prendre sa retraite en 2000. Aujourd’hui âgé de 53 ans, il peut admirer les prouesses de son fils Shaun-Wright Mazzola qui vient de rejoindre le Phoenix Rising FC en tant qu’attaquant et ailier droit.
La suite de votre article ci-dessousJusqu’en janvier 1999, Danny Blind était le libéro de l’équipe néerlandaise AFC Ajax. Il a aujourd’hui 56 ans et a légué tout son savoir-faire à son célèbre fils Daley Blind qui a 27 ans et occupe le poste d’arrière gauche au Manchester United.
Xabi Alonso, le milieu défensif du Bayern Munich qui vient tout juste de prendre sa retraite au mois de juillet à 35 ans, doit tout son talent à son père Miguel Angel « Periko » Alonso. Son père a 64 ans et a été manager d’équipes telles que la Real Sociedad et Hércules. Auparavant, Periko Alonso a déjà joué à la Real Sociedad, au FC Barcelona, etc.
L’Argentin Diego Pablo Simeone a brillé en tant que milieu central de l’Atletico Madrid, du FC Sevilla ou encore du Racing Club où il a terminé sa carrière en 2006. Son fils Giovanni Simeone a 22 ans et évolue aujourd’hui comme avant-centre de l’ACF Fiorentina.
La suite de votre article ci-dessousAvant de prendre sa retraite en 2003, l’Espagnol Carles Busquets était gardien de but pour des clubs tels que l’UE Lleida ou le FC Barcelone. Il est le père de Sergio Busquets, l’actuel milieu défensif du Barça depuis 2008.
Manolo Sanchis a rejoint le FC Cordoba en provenance du Real Madrid en 1972 et y a terminé sa carrière de footballeur professionnel en tant que défenseur. En 1965, sa femme a donné naissance à Manolo Sanchis Jr. qui a joué en tant que libéro au Real Madrid jusqu’en 2011.
Johan Cruyff est décédé l’année dernière à l’âge de 68 ans. Il a joué dans des équipes telles que l’AFC Ajax ou le Barça dans les années 1970 avant d’en devenir le manager dans les années 1980 et en 2015. Il a partagé sa passion pour le foot avec son fils Jordi Cruyff qui a été milieu défensif de Valletta jusqu’en 2010.
La suite de votre article ci-dessousNé en 1939, le Français Jean Djorkaeff a été l’arrière gauche de l’Olympique de Lyon, de Marseille, du PSG et de Paris FC jusqu’à sa retraite en 1974. Son fils Youri Djorkaeff a également pris sa retraite en 2007 après avoir été le milieu offensif des NY Red Bulls pendant une saison.
Abedì Ayew « Pelè » est un ghanéen à la carrière footballistique bien remplie. Avant de prendre sa retraite en 1999, il a été milieu de terrain offensif de différents clubs dont l’OL, Marseille, Mulhouse ou Torino. Son fils de 27 ans Andre Ayew est l’actuel ailier gauche du West Ham United jusqu’en 2019. Il a un autre fils dénommé Jordan Ayew qui joue en tant qu’avant-centre du club de Base Soccer Agency Ltd.
L’attaquant argentin Juan Ramon Veron a quitté le foot en 1982, après avoir passé deux saisons au sein des Estudiantes. Son fils Juan Sebastian Veron a rejoint le même club que lui avant de prendre sa retraite cette année. Il était milieu central des Estudiantes et est aujourd’hui devenu le président de ce club, à 42 ans.
Mazinho, de son vrai nom Iomar do Nacimento, est un brésilien qui a joué dans des clubs tels que Fiorentina, Palmeiras ou FC Valencia. Il a managé l’Aris Salonique en 2009. Son fils Rafael (24 ans) est le milieu de terrain central du Barça. Son aîné Thiago occupe le même poste au Bayern Munich.
Contrairement à ce que son nom sous-entend, Maurizio Gaudino est allemand. Né à Brühl en 1966, il a été milieu de terrain central pour divers clubs tels que le FC Basel, Manchester City, W. Mannheim. Son fils Gianluca Gaudino passe également d’un club allemand à un autre et acquiert de la réputation en tant que milieu central du haut de ses vingt ans.
En 1991, Jorge Higuain était le défenseur central de l’équipe de River Plate à Buenos Aires. Sa femme a mis au monde leur fils Federico Higuain en 1984 et Jorge l’a amené à jouer au foot. A 33 ans, Federico est le milieu offensif de Colombus Crew SC. Son second fils Gonzalo Higuain a 29 ans et joue au sein de la Juventus Turin en tant qu’avant-centre.
La suite de votre article ci-dessousZlatko Kranjcar était moins connu que son fils Niko. Ce Croate a terminé sa carrière en tant qu’avant-centre du club allemand de Weinerfeld en 1992. Son fils Niko Kranjacar a pris sa retraite l’année dernière, à l’âge de 32 ans. Il est passé par de grands clubs tels que le FC Portsmouth ou Tottenham en tant que milieu offensif.
Vladimir Weiss sr. est russe. Il est connu pour avoir managé des équipes russes telles que Petrzalka et l’équipe de la Slovaquie. Son fils Vladimir Weiss jr. a connu différents clubs dont Manchester City ou Esp. Barcelona. Il a actuellement 27 ans.
Né en 1946, Roberto « Bob » Vieri a été milieu de terrain dans des clubs comme le FC Bologne, la Juventus Turin ou encore l’AS Roma. Son fils Christian Vieri était attaquant et avant-centre de l’AC Milan, de l’AS Monaco ou encore de la Juventus avant de prendre sa retraite en 2009. Son second fils Massimiliano Vieri était avant-centre à la Juventus, à Napoli et dans divers autres clubs avant sa retraite en 2012.
Rares sont ceux qui parviennent à inscrire leur nom dans l’histoire du sport et à marquer un grand nombre de buts. Aujourd’hui, nous nous souviendrons des trois footballeurs les plus prolifiques dont la carrière a atteint son apogée dans le football espagnol.
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Benzema a montré tout au long de sa carrière au Real Madrid comment évoluer de manière significative en tant que footballeur. Si Karim a d’abord eu les coups de pied arrêtés pour devenir un grand joueur, sa capacité à capitaliser sur les occasions qui lui sont offertes est quelque chose qui mérite le respect. Lorsqu’il a rejoint le club madrilène, il n’était pas une grande star capable de marquer régulièrement des buts. Cependant, le fait d’être entouré en attaque a joué un rôle important dans son développement en tant que joueur capable de réussir sérieusement.
Au début, Karim a joué le rôle d’assistant, mais après le départ d’Iguain et de Ronaldo, il n’a pas hésité à prendre la responsabilité du leadership. Son jeu s’est amélioré d’année en année et, avant de partir à l’intersaison, il a mérité le Ballon d’Or pour son excellent travail de l’année dernière. Dans notre classement des buteurs de la Liga depuis le début du siècle, il occupe une honorable troisième place.
On a déjà beaucoup parlé de Cristiano Ronaldo, qui était destiné à devenir une légende mondiale dès le début de sa carrière au sein de l’équipe nationale portugaise. Il a progressivement organisé son passage à Manchester United, où il est devenu un footballeur mature capable d’être responsable des résultats de l’équipe. Son transfert au Real Madrid a fait grand bruit et s’est avéré tout à fait justifié. Cristiano se déplace rapidement sur le terrain, ignorant souvent ses partenaires offensifs car il se concentre sur l’amélioration de ses performances individuelles. Il n’a connu que quelques matches vraiment faibles au cours de son séjour au Real Madrid. Pour le reste, il a répondu aux attentes et ses presque 400 points illustrent son niveau de jeu d’il y a dix ans.
En première position, on retrouve l’inégalable Lionel Messi, mais avec un chiffre « diabolique » qui restera malheureusement gravé à jamais dans l’histoire de sa période espagnole. Le chiffre de 666 points est tout simplement hallucinant et il n’est pas certain que quelqu’un atteigne un jour un tel résultat dans n’importe quel championnat du monde, et encore moins dans les plus grands championnats européens.
Messi a fait ses débuts dans le championnat espagnol en 2005 et il n’est pas surprenant qu’en 16 ans de carrière, il ait pu atteindre des chiffres aussi impressionnants grâce à son talent.
Sa rivalité avec Ronaldo pendant cinq ans est considérée comme l’une des confrontations les plus colorées de l’histoire du football. C’est pourquoi l’Argentin a pris la tête de notre classement grâce à ses incroyables chiffres en matière de buts et de passes décisives.
L’avancée de la technologie permet à toutes les disciplines de connaître une évolution majeure. Le football, qui est l’un des sports les plus suivis au monde, n’est pas en marge de ce progrès technologique. Depuis son introduction pour la première fois en 2016, la VAR contribue notamment à rendre les matchs plus équitables. Zoom sur son fonctionnement et sur son impact sur les matchs.
Le sigle VAR veut signifier « Video Assistance Referee ». Dans le langage commun, l’expression « arbitrage vidéo » est plus répandue. La VAR est une technologie mise au point pour augmenter la qualité de l’arbitrage lors des matchs de football. Elle tend particulièrement à réduire considérablement les erreurs que les arbitres sont susceptibles de commettre lors des matchs.
Les arbitres vidéo ont un champ d’action restreint. Leur rôle est principalement de signaler à l’arbitre des situations litigieuses spécifiques qui auraient pu survenir sur le terrain. Il faut toutefois signifier que la décision appartient bien à l’arbitre central.
Le champ d’action de la VAR se limite à quatre types d’événements sur un match. Elle peut être utilisée pour valider ou non un but ou juger les situations de hors-jeu. Elle peut servir à valider ou annuler un penalty sifflé ainsi qu’un carton rouge direct.
La VAR permet enfin de vérifier l’identité d’un joueur qui a été sanctionné. Il est par ailleurs possible, chez certains bookmakers, d’émettre un pari sportif sur l’usage ou non de la VAR lors d’un match de football. Vous pouvez aller sur PokerStars pour découvrir des pronostics très intéressants.
Pour visionner les séquences vidéo, l’initiative vient soit des arbitres assistants vidéo, soit de l’arbitre central. Une fois la situation analysée, les assistants vidéo peuvent rendre leur verdict directement à travers une oreillette que porte l’arbitre central. Si la décision est mitigée, ce dernier a la possibilité de consulter directement les images sur le bord du terrain.
Depuis son avènement, la VAR a eu un impact significatif sur une pléiade de matchs de football. Mais elle reste cependant sujette à de nombreuses critiques.
Incontestablement, la VAR a révolutionné l’arbitrage dans le football. Avec cette nouvelle technologie, les fautes les plus bénignes sont désormais bien sanctionnées. Le hors-jeu, à titre d’exemple, est devenu beaucoup plus strict depuis l’avènement de l’assistance vidéo. Pour un coude qui dépasse, des actions entières peuvent être annulées. Cela permet de ne pas désavantager une équipe au profit de l’autre.
La VAR permet également une plus grande expansion du pouvoir décisionnel de l’arbitre central. Ce dernier dispose de plus d’informations et porte de ce fait plus de responsabilités dans les décisions qu’il prend sur certaines actions. La consultation de la vidéo étant possible à tout moment du match, il pourrait lui être reproché des faits de jeu graves qu’il aurait ignorés.
Mais la VAR fait aussi face à une multitude de critiques. Ses détracteurs l’accusent de dénaturer le sport et de faire régresser le fair-play qui est censé caractériser le football. Elle peut arrêter des rencontres pendant de longues minutes, ce qui fait logiquement augmenter le temps de jeu additionnel.
Dans ces conditions, il arrive que les ascenseurs émotionnels soient insupportables. C’est le cas par exemple lorsqu’un but validé est refusé après plus de trois minutes de vérification de la VAR.
Bien que l’assistance vidéo soit très controversée depuis son introduction sur les terrains de football, il faut reconnaître qu’elle a servi à de nombreuses reprises. Son utilité n’est plus à prouver et il est certain qu’elle ne risque pas de disparaître.
Alors que la Coupe du monde féminine de football vient de s’achever ce dimanche, avec la belle victoire de l’équipe d’Espagne 1 à 0 face à l’équipe de l’Angleterre, une vieille idée refait surface sur les réseaux sociaux: Faut-il payer les athlètes féminines autant que leurs collègues masculins?
Cette question qui a longtemps divisé l’opinion refait surface à chaque grande compétition internationale et il semblerait que le public soit enfin prêt à un profond changement dans l’écosystème sportif.
Dans un sondage récent partagé par ExpressVPN, il a en effet été révélé que la grande majorité des personnes interrogées soutiennent fermement l’idée d’une égalité de rémunération pour les athlètes féminines, pour contrer les disparités économiques actuelles qui favorisent davantage les athlètes masculins. En effet, 54 % des répondants ont déclaré être totalement favorables à cette égalité, tandis que 35 % se sont dit plutôt favorables. Seuls 10 % des participants ont indiqué ne pas être vraiment favorables à cette égalité, et seulement 1 % s’est déclaré complètement opposé.
Ces résultats démontrent un soutien significatif envers l’égalité de rémunération, même en prenant en compte des facteurs tels que les revenus de billetterie plus élevés, le merchandising plus important et l’attention médiatique accrue dont bénéficient les athlètes masculins. Cette constatation souligne clairement l’importance accordée à la reconnaissance de la valeur et du talent des athlètes féminines, ainsi que l’objectif de rétablir une plus grande équité dans le domaine du sport.
Il est essentiel que les associations, les clubs et les équipes sportives travaillent activement à réduire ces écarts de rémunération et à créer des opportunités équitables pour les athlètes féminines. Il est temps de reconnaître leur contribution significative et de leur offrir des droits égaux en matière de rémunération. Les organismes sportifs doivent prendre des mesures concrètes pour combler cet écart, en mettant en place des politiques qui favorisent l’égalité salariale et en attribuant des ressources financières équivalentes aux athlètes féminines. Cela inclut également la création de programmes de développement et d’entraînement spécifiquement conçus pour soutenir et promouvoir le potentiel des femmes dans le sport.
En plus de l’aspect égalitaire, il est également important de souligner le potentiel économique du sport féminin. En investissant dans le développement et la promotion du sport féminin, les associations peuvent créer de nouvelles opportunités de revenus et élargir leur base de fans. Les athlètes féminines méritent d’avoir les mêmes opportunités de succès et de reconnaissance que leurs homologues masculins, et les retombées financières positives pourraient être significatives.
Pour conclure cet article, nous devons retenir que ce formidable soutien à l’égalité de rémunération pour les athlètes féminines indique un changement positif dans notre société. Il est temps que les disparités économiques actuelles soient remises en question et que des mesures concrètes soient prises pour promouvoir l’égalité dans le sport. En permettant aux athlètes féminines de bénéficier d’une rémunération juste et équitable, nous faisons un pas important vers une société bien plus juste, bien plus saine et bien plus équilibrée.
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