Pause Foot vous propose de découvrir les joueurs qui ont été la risée du Stade Vélodrome. Ce top 20 va vous remémorer les flops du recrutement marseillais de ces 20 dernières années. Vous allez être surpris ! Bonne découverte et amusez vous bien !
Des contrôles loupés, des centres à faire frémir les mouettes autour du Vélodrome, un repli défensif d’une lenteur accablante… Les sept matches de Mears sous les couleurs de l’OM ne laisseront qu’en souvenir un but à l’Arena d’Amsterdam. Le remplaçant de Laurent Bonnart est rapidement éjecté du onze par Gerets qui lui préfère Kaboré en latéral droit. Sélectionné à une reprise avec la Jamaïque, on se rend compte qu’en réalité, son père n’est pas d’origine jamaïcaine, mais sierra-leonaise… Mears ne peut donc plus évoluer sous les couleurs d’aucune équipe nationale…
Débarqué sur la Canebière avec un statut de défenseur rugueux et expérimenté sous les couleurs de Parme, Torrisi fait ses débuts à la Beaujoire de Nantes. Une catastrophe… Pataud et malheureux, il contre une frappe de Berson qui prend Runje à contre-pied. Il trompera trois minutes plus tard son gardien d’une tête en retrait remplie d’inspiration. Il ne jouera plus qu’une seule rencontre après celle-là. Mythique.
La suite de votre article ci-dessousCapable d’évoluer en défense centrale et sur les ailes, Nakata débarque dans les valises du coach phocéen de l’époque à l’hiver 2005, Philippe Troussier. Le Japonais restera dans les mémoires pour deux choses. Un fantastique but contre son camp au Vélodrome face au Paris Saint-Germain. Mais surtout un ballon loupé sur la neige de Geoffroy-Guichard. Une légende.
Arrivé en renfort au mercato hivernal pour pallier au départ de Taye Taiwo à la CAN, Juan Angel Krupoviesa marque ses débuts sous le maillot de l’OM avec un magnifique tacle par derrière sur Pagis à Rennes. Carton rouge direct. S’en suivront des matches mettant en lumière son extrême lenteur et son incapacité à s’adapter au jeu européen. Retour direct à l’envoyeur (Boca Juniors).
Enfant du club, Thomas Deruda effectue ses débuts sous la tunique marseillaise contre Monaco. 10 minutes de jeu et un tacle assassin plus tard, il récolte un rouge. Pris en grippe par le public du Vélodrome, Deruda n’a clairement pas le niveau pour évoluer à un tel échelon. Il enchaînera les prêts jusqu’à son départ en 2009 à l’AC Ajaccio.
Recruté en même temps que Didier Drogba en 2003, Vachousek arrive avec une réputation solide. Considéré comme un futur grand en République tchèque, son pied gauche fait des ravages au Slavia Prague. A Marseille, c’est une autre histoire. Vachousek et ses dribbles en cercle ont fini par exaspérer les supporters de l’OM. Il n’apparaît quasiment plus en seconde partie de saison.
Jamais un joueur de l’OM n’a autant été conspué par ses propres supporters. Fabrice Fiorèse débarque sur la Canebière sous l’étiquette d’un ancien joueur du PSG. Chambreur sous le maillot de la capitale avec les tribunes du Vélodrome, il ne sera jamais accueilli comme un joueur de l’OM à part entière. De plus, ses performances sont largement en-deçà de ce qu’il a été capable de montrer au PSG.
El Condor plane sur sa première rencontre avec l’OM. Dans une affiche électrique en Intertoto face à la Lazio, Marseille régale. Victoire 3-0. Mendoza marque un but plein d’opportunisme. On se dit que les Phocéens ont trouvé un ailier de taille… Nous sommes à des années lumières de cela. Le Péruvien ne parvient plus par la suite à mettre un pied devant l’autre et s’écroule en laissant le souvenir d’un formidable gâchis.
La suite de votre article ci-dessousEn quête d’un attaquant après les départs de Bamogo et Luyindula, l’OM jette son dévolu sur l’Argentin Gimenez à quelques encablures de la fin du marché des transferts. En quatre saisons, Gimenez a inscrit la bagatelle de 111 buts en 146 matches. Un tueur des surfaces. Premier match face à l’AC Ajaccio en août 2005, l’Argentin se trouve à la réception d’un centre de Taiwo et catapulte le cuir dans les filets corses. Le Vélodrome frissonne et se dit que l’OM a enfin trouvé son buteur. Gimenez inscrira ce second et dernier but avec Marseille en… janvier 2006, en seizièmes de Coupe de France à Metz.
Arrivé à Marseille lors de la boulimie de transferts en 2001-2002, Cavens est présenté comme un redoutable attaquant. Emprunté balle au pied, incapable de créer des brèches par ses appels, l’international belge ne fera pas long feu. Il reste pourtant encore dans toutes les mémoires à Marseille.
Il était considéré comme l’un des grands espoirs du football français. Il a honoré 22 sélections entre 2002 et 2005 en équipe de France. Il signe à l’OM pour la saison 2003-2004 avant de rejoindre l’OL. Il n’aura pas laissé une grosse empreinte à l’OM.
La suite de votre article ci-dessousMamadou Samassa a joué deux saisons à l’Olympique de Marseille avant d’être prêté pour Valenciennes. Les supporters du stade Vélodrome se souviendront longtemps de ce grand attaquant qui n’a pas marqué de but sous les couleurs olympiennes.
Brillant avec Strasbourg, Salim Arrache signe à l’OM en 2007 où il perd pied. Au final, il n’arrachera qu’une seule titularisation en six mois puis sera prêté à Toulouse et Reims, avant de rejoindre Bastia en 2009. Sans plus de succès…
Comment l’OM peut détruire la carrière d’un joueur prometteur… Adulé à Nantes, le milieu polyvalent, alors âgé de 20 ans, va errer comme une âme en peine sur le Vieux-Port lors de la saison 2002-2003. Trop tendre, il ne s’est jamais imposé comme titulaire.
La suite de votre article ci-dessousArrivé à l’été 2000 avec son compère Marcelinho à la demande du coach Abel Braga, le milieu offensif brésilien Adriano devait régaler le public du Vélodrome. Cette saison là fut catastrophique et aujourd’hui, personne ne se souvient de lui…
Recruté dans les dernières heures du mercato en provenance de Porto où il était indésirable, Rolando est aujourd’hui la risée des supporters de l’OM et du foot français. Trop lent et régulièrement enrhumé dans les un contre un, le défenseur central avait pourtant la confiance de Michel. Cette saison, il est relégué sur le banc de touche.
Le meneur de jeu argentin Daniel Montenegro (1999) aurait aimé avoir une grande carrière sur la Canebière. Recruté 6 millions d’euros pour illuminer le jeu olympien, Montenegro ne disputera que 5 matches à Marseille, avant d’être prêté.
La suite de votre article ci-dessousA Marseille, on a eu Fernandel, et puis Fernandão. Annoncé comme un attaquant au jeu de tête redoutable, le Brésilien mettra 3 « pauvres » buts en 26 matches et montrera davantage de qualités en jouant un peu plus en retrait la saison suivante. Ce qui ne l’empêchera pas de retourner, sans tambour ni trompette, au Brésil après une pige au Qatar, histoire d’empocher de quoi se payer un billet retour.
Le Russe avait été mis à l’essai par Nantes et par Metz, sans succès. Mais une sélection en équipe nationale a suffi pour que l’OM tombe dans le panneau et fasse signer le « Michael Owen russe ».
Rares sont ceux qui parviennent à inscrire leur nom dans l’histoire du sport et à marquer un grand nombre de buts. Aujourd’hui, nous nous souviendrons des trois footballeurs les plus prolifiques dont la carrière a atteint son apogée dans le football espagnol.
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Benzema a montré tout au long de sa carrière au Real Madrid comment évoluer de manière significative en tant que footballeur. Si Karim a d’abord eu les coups de pied arrêtés pour devenir un grand joueur, sa capacité à capitaliser sur les occasions qui lui sont offertes est quelque chose qui mérite le respect. Lorsqu’il a rejoint le club madrilène, il n’était pas une grande star capable de marquer régulièrement des buts. Cependant, le fait d’être entouré en attaque a joué un rôle important dans son développement en tant que joueur capable de réussir sérieusement.
Au début, Karim a joué le rôle d’assistant, mais après le départ d’Iguain et de Ronaldo, il n’a pas hésité à prendre la responsabilité du leadership. Son jeu s’est amélioré d’année en année et, avant de partir à l’intersaison, il a mérité le Ballon d’Or pour son excellent travail de l’année dernière. Dans notre classement des buteurs de la Liga depuis le début du siècle, il occupe une honorable troisième place.
On a déjà beaucoup parlé de Cristiano Ronaldo, qui était destiné à devenir une légende mondiale dès le début de sa carrière au sein de l’équipe nationale portugaise. Il a progressivement organisé son passage à Manchester United, où il est devenu un footballeur mature capable d’être responsable des résultats de l’équipe. Son transfert au Real Madrid a fait grand bruit et s’est avéré tout à fait justifié. Cristiano se déplace rapidement sur le terrain, ignorant souvent ses partenaires offensifs car il se concentre sur l’amélioration de ses performances individuelles. Il n’a connu que quelques matches vraiment faibles au cours de son séjour au Real Madrid. Pour le reste, il a répondu aux attentes et ses presque 400 points illustrent son niveau de jeu d’il y a dix ans.
En première position, on retrouve l’inégalable Lionel Messi, mais avec un chiffre « diabolique » qui restera malheureusement gravé à jamais dans l’histoire de sa période espagnole. Le chiffre de 666 points est tout simplement hallucinant et il n’est pas certain que quelqu’un atteigne un jour un tel résultat dans n’importe quel championnat du monde, et encore moins dans les plus grands championnats européens.
Messi a fait ses débuts dans le championnat espagnol en 2005 et il n’est pas surprenant qu’en 16 ans de carrière, il ait pu atteindre des chiffres aussi impressionnants grâce à son talent.
Sa rivalité avec Ronaldo pendant cinq ans est considérée comme l’une des confrontations les plus colorées de l’histoire du football. C’est pourquoi l’Argentin a pris la tête de notre classement grâce à ses incroyables chiffres en matière de buts et de passes décisives.
L’avancée de la technologie permet à toutes les disciplines de connaître une évolution majeure. Le football, qui est l’un des sports les plus suivis au monde, n’est pas en marge de ce progrès technologique. Depuis son introduction pour la première fois en 2016, la VAR contribue notamment à rendre les matchs plus équitables. Zoom sur son fonctionnement et sur son impact sur les matchs.
Le sigle VAR veut signifier « Video Assistance Referee ». Dans le langage commun, l’expression « arbitrage vidéo » est plus répandue. La VAR est une technologie mise au point pour augmenter la qualité de l’arbitrage lors des matchs de football. Elle tend particulièrement à réduire considérablement les erreurs que les arbitres sont susceptibles de commettre lors des matchs.
Les arbitres vidéo ont un champ d’action restreint. Leur rôle est principalement de signaler à l’arbitre des situations litigieuses spécifiques qui auraient pu survenir sur le terrain. Il faut toutefois signifier que la décision appartient bien à l’arbitre central.
Le champ d’action de la VAR se limite à quatre types d’événements sur un match. Elle peut être utilisée pour valider ou non un but ou juger les situations de hors-jeu. Elle peut servir à valider ou annuler un penalty sifflé ainsi qu’un carton rouge direct.
La VAR permet enfin de vérifier l’identité d’un joueur qui a été sanctionné. Il est par ailleurs possible, chez certains bookmakers, d’émettre un pari sportif sur l’usage ou non de la VAR lors d’un match de football. Vous pouvez aller sur PokerStars pour découvrir des pronostics très intéressants.
Pour visionner les séquences vidéo, l’initiative vient soit des arbitres assistants vidéo, soit de l’arbitre central. Une fois la situation analysée, les assistants vidéo peuvent rendre leur verdict directement à travers une oreillette que porte l’arbitre central. Si la décision est mitigée, ce dernier a la possibilité de consulter directement les images sur le bord du terrain.
Depuis son avènement, la VAR a eu un impact significatif sur une pléiade de matchs de football. Mais elle reste cependant sujette à de nombreuses critiques.
Incontestablement, la VAR a révolutionné l’arbitrage dans le football. Avec cette nouvelle technologie, les fautes les plus bénignes sont désormais bien sanctionnées. Le hors-jeu, à titre d’exemple, est devenu beaucoup plus strict depuis l’avènement de l’assistance vidéo. Pour un coude qui dépasse, des actions entières peuvent être annulées. Cela permet de ne pas désavantager une équipe au profit de l’autre.
La VAR permet également une plus grande expansion du pouvoir décisionnel de l’arbitre central. Ce dernier dispose de plus d’informations et porte de ce fait plus de responsabilités dans les décisions qu’il prend sur certaines actions. La consultation de la vidéo étant possible à tout moment du match, il pourrait lui être reproché des faits de jeu graves qu’il aurait ignorés.
Mais la VAR fait aussi face à une multitude de critiques. Ses détracteurs l’accusent de dénaturer le sport et de faire régresser le fair-play qui est censé caractériser le football. Elle peut arrêter des rencontres pendant de longues minutes, ce qui fait logiquement augmenter le temps de jeu additionnel.
Dans ces conditions, il arrive que les ascenseurs émotionnels soient insupportables. C’est le cas par exemple lorsqu’un but validé est refusé après plus de trois minutes de vérification de la VAR.
Bien que l’assistance vidéo soit très controversée depuis son introduction sur les terrains de football, il faut reconnaître qu’elle a servi à de nombreuses reprises. Son utilité n’est plus à prouver et il est certain qu’elle ne risque pas de disparaître.
Alors que la Coupe du monde féminine de football vient de s’achever ce dimanche, avec la belle victoire de l’équipe d’Espagne 1 à 0 face à l’équipe de l’Angleterre, une vieille idée refait surface sur les réseaux sociaux: Faut-il payer les athlètes féminines autant que leurs collègues masculins?
Cette question qui a longtemps divisé l’opinion refait surface à chaque grande compétition internationale et il semblerait que le public soit enfin prêt à un profond changement dans l’écosystème sportif.
Dans un sondage récent partagé par ExpressVPN, il a en effet été révélé que la grande majorité des personnes interrogées soutiennent fermement l’idée d’une égalité de rémunération pour les athlètes féminines, pour contrer les disparités économiques actuelles qui favorisent davantage les athlètes masculins. En effet, 54 % des répondants ont déclaré être totalement favorables à cette égalité, tandis que 35 % se sont dit plutôt favorables. Seuls 10 % des participants ont indiqué ne pas être vraiment favorables à cette égalité, et seulement 1 % s’est déclaré complètement opposé.
Ces résultats démontrent un soutien significatif envers l’égalité de rémunération, même en prenant en compte des facteurs tels que les revenus de billetterie plus élevés, le merchandising plus important et l’attention médiatique accrue dont bénéficient les athlètes masculins. Cette constatation souligne clairement l’importance accordée à la reconnaissance de la valeur et du talent des athlètes féminines, ainsi que l’objectif de rétablir une plus grande équité dans le domaine du sport.
Il est essentiel que les associations, les clubs et les équipes sportives travaillent activement à réduire ces écarts de rémunération et à créer des opportunités équitables pour les athlètes féminines. Il est temps de reconnaître leur contribution significative et de leur offrir des droits égaux en matière de rémunération. Les organismes sportifs doivent prendre des mesures concrètes pour combler cet écart, en mettant en place des politiques qui favorisent l’égalité salariale et en attribuant des ressources financières équivalentes aux athlètes féminines. Cela inclut également la création de programmes de développement et d’entraînement spécifiquement conçus pour soutenir et promouvoir le potentiel des femmes dans le sport.
En plus de l’aspect égalitaire, il est également important de souligner le potentiel économique du sport féminin. En investissant dans le développement et la promotion du sport féminin, les associations peuvent créer de nouvelles opportunités de revenus et élargir leur base de fans. Les athlètes féminines méritent d’avoir les mêmes opportunités de succès et de reconnaissance que leurs homologues masculins, et les retombées financières positives pourraient être significatives.
Pour conclure cet article, nous devons retenir que ce formidable soutien à l’égalité de rémunération pour les athlètes féminines indique un changement positif dans notre société. Il est temps que les disparités économiques actuelles soient remises en question et que des mesures concrètes soient prises pour promouvoir l’égalité dans le sport. En permettant aux athlètes féminines de bénéficier d’une rémunération juste et équitable, nous faisons un pas important vers une société bien plus juste, bien plus saine et bien plus équilibrée.
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